C'est dans une optique d'impartialité totale* que notre testeur, qui a courageusement pris le pseudo de "Nym de l'anneau" vous fait part de ses essais les plus complets
Note : le pilote, employé chez Gutamaya est spécialisé dans les vols en Courrier et Clipper
C'est avec joie que j'ai mis la main sur ce..... Vaisseau?
Étant très attaché aux missions humanitaires, je m'était dit qu'arriver avec 500tonnes de nourriture ou médicaments seraient mieux que les 100tonnes de mon majestueux Clipper.
Le poste de pilotage en lui même est au standard de ce qui se fait, pas de problème, on trouve tout, tout de suite.
La verrière est immense, comme le ASP Explorer que j'ai déjà put utiliser (attention, ne pas y aller si on est sujet au vertige)
La chose qui démontre clairement la différence de philosophie de Lakon (et surement de la région d'où vient cette société) est la configuration en elle même du poste de pilotage. D'ailleurs, ici, je ne pense pas qu'il faille parler de capitaine de bord, ou de commander, mais de Maître d'équipage car celui qui officie est littéralement au dessus des autres membres, comme s'ils avaient à connaitre leur place : les bas fonds... une drôle de philosophie de l'équipage je vous disait. Chez Gutamaya par exemple, le capitaine peut regarder dans les yeux ses membres d'équipages, et eux, peuvent à tout moment l'observer pour s'en inspirer.
J'en pris les commande et sorti directement de la station, comme... pas vraiment l'éclair... plutôt une soute à laquelle on aurai adjoint un réacteur asthmatique. Je ne put que rentrer dans la station pour faire tous les investissement afin de rendre ce parpaing un minimum utilisable.
Ayant fait l'achat dans cette station bien connu d'un certain cercle de pilote, je n'eut aucun problème pour trouver ces élements. Meilleurs FSD, alléger le tout le plus possible, enlever les armes et boucliers afin d'atteindre les 520tonnes de charges utiles... Après tout, quel indigne pirate attaquerai un convoi humanitaire (je dut me rendre compte que certains, surement en provenance de la fédération ou de l'alliance ne s'en préoccupaient pas du tout)
La commande est vraiment spéciale. Si on veut tourner ou s’arrêter, il faut vraiment le prévoir à l'avance. Pas question de faire une manœuvre d'esquive.
Je ne parlerai pas de l'accélération, sujette aux choix technique que j'ai fait (réduire la masse, aussi bien sur le répartiteur et le générateur sous-dimensionné en classe D que le thruster classe D luis aussi), mais l'avantage, c'est que si vous aviez oublié votre café sur le tableau de bord et que vous lanciez un boost, aucune goute ne sortait de la tasse.
En sortie d'un jump, on lance une rotation pour ne pas plonger dans l'étoile, et.... faut vraiment s'habituer aux temps de réponses looongs pour ne pas avoir de sueurs froide.
Dire qu'un courageux pilote a utiliser un de ces T9 pour aller voir Beagle Point, il devait tout juste sortir d'un monastère zen avant de partir en voyage.
Durant ces missions, l'engin a fait son taf, avec ses 520tonnes de soutes pleines, j'ai put échapper a des pirates (sauf un, il devait avoir suivi l'école de pilotage d'Achenar celui là), atterrir dans des stations planétaires, entrer dans des stations orbitales, le tout, trés, trés lentement.
Les affamés ont reçu leurs rations, les malades ont reçus leurs soins, mais le pilote s'est
Je doit admettre, avec ce T9, les voyages semblent longs, lents et ennuyeux, mais si j'avais dut faire pareil avec mon Clipper, même s'il va bien plus vite, il m'aurait fallu au moins le double de temps.
Par contre, ces cales si immenses, et cette conduite tout en
Votre pilote et journaliste à l’essai
Nym de l'anneau